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Heureusement

qu'on ne meurt pas d'amour

TOUT PUBLIC dès 11 ans

6 instrumentistes

1 comédienne

© Vincent Noclin

Comment résister ? Elle est si belle ! C'est l'amour incarné. Un absolu qui s’offre à qui la désire.

Elle ne choisit pas ses amants mais se laisse aimer.

Elle est comme ces oiseaux de la mer qui ne chantent que dans les orages…

Heureusement qu’on ne meurt pas d’amour !

 

TEXTE

D’après l'Arlésienne d'Alphonse Daudet

Adapté par Sébastien Davis et Anne Girouard

 

MUSIQUE

D'après la musique de scène de l'Arlésienne de Georges Bizet

Transcription pour l’Ensemble Agora : Sophie Bellanger

 

AVEC

Anne Girouard, comédienne

l'Ensemble Agora

flûte, hautbois, clarinette, basson, cor, harpe, tambourin, accessoires...

Mise en scène : Sébastien Davis

Lumières : Julien Alenda

L’HISTOIRE

Un dimanche soir, c’est le repas de noces : on va fiancer le jeune Jan. La fête bat son plein, quand un homme se présente à la porte et déclare sa liaison avec la promise. Des lettres prouvent tout. Un abîme s’ouvre soudain. Le vertige s’empare de tous les personnages. La mère se morfond pour son fils, dénonce les conventions qui empêchent le mariage, revendique les droits d’une femme et ceux d’une mère. Le Grand-Père figé dans une position toute commandée par l’honneur et la respectabilité sera inflexible. Jan se noie dans le chagrin, le travail, la colère, l’amour.

 

LE SPECTACLE

Le récit fait alterner les dimensions intimes, celle d’une histoire que l’on raconte à demi-mots dans les rues d’un village et celle qui fait vivre la passion dévastatrice du jeune Jan éperdu de cette Arlésienne sublime promise à un autre. Il met en relief les folles inquiétudes d’une Mère qui se bat contre tout et tous pour échapper à l’insupportable : la mort de son enfant.

 
Mais ce drame est indissociable de l’idée de la fête et du soleil de Provence, on danse et on rit en faisant la farandole et en jouant du tambourin. L'ensemble Agora reconstruit l'œuvre musicale de Bizet, tissée de mélodies inoubliables, jouées par les instruments à vent regroupés autour de la harpe, réalisant un spectacle incroyablement intense et poétique. 

Comme un oracle, Heureusement qu’on ne meurt pas d’amour vient au début de la pièce souligner l’aveuglement des personnages, leur refus de soumettre leurs destinées aux caprices de l’amour, leur volonté de régler leurs croyances et leurs vies sur les conventions sociales.
Bien sûr que non, on ne peut pas mourir d’amour !

> DOSSIER DU SPECTACLE

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